Une invitation de nos amies de Ville-Marie,
vendredi 6 mars 2015

Le centre de femmes du Témiscamingue, appuyé par une équipe de partenaires du milieu et de plusieurs bénévoles, prépare la JOURNÉE INTERNATIONALE DES FEMMES 2015.

Sous le thème « Images de femmes, empreintes d’émotions », cette journée marquera le lancement de la Marche mondiale des femmes en 2015 et veut sensibiliser les femmes à l’amélioration des conditions de vie des femmes du monde et à l’importance de leur passage dans leur communauté.

Les activités se tiendront le vendredi 6 mars 2015, à partir de 19H30.

Il y aura projection du documentaire Nous, les femmes qu’on ne sait pas voir et d’une création artistique audiovisuelle rendant hommage aux femmes du Témiscamingue, à leur empreinte sur le patrimoine culturel.

L’événement se déroulera au Théâtre du Rift de Ville-Marie.

Ces activités seront entièrement gratuites pour permettre à toutes d’y participer pleinement.

Pour informations :

Centre de femmes du Témiscamingue (819.622.0111)

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Un portrait éclaté du vieillissement,
un film tressé de visages et d’histoires de vie,
une grande conversation sur l’âge

Maintenant disponible en DVD

Diane, Lise, Nicole, Suzanne et Thérèse partent sur les routes du Québec afin de poursuivre une grande conversation avec des femmes de tous les âges sur leur expérience du vieillissement. Elles utilisent des moyens artistiques pour déclencher des réflexions profondes et souvent surprenantes. Ensemble, ces femmes qu’on ne sait pas voir nous offrent une courtepointe de paroles mêlant les accents comme les idées. Elles nous laissent entrevoir le paysage d’une vieillesse pleine de promesse, donnant à l’avancée en âge tout son sens de découverte.

Durée : 64 minutes.

Sous-titres français et anglais.

Une réalisation de MARTINE GIGNAC

Une production de LA MARIE DEBOUT

 En bonus, un documentaire de 13 minutes sur le projet d’art en communauté.

Pour visionner la bande-annonce, cliquez ici : https://vimeo.com/112504190

Pour commander le DVD :

La Marie Debout
Centre de femmes Hochelaga-Maisonneuve
514.597.2311

info@lamariedebout.org

www.lamariedebout.org

Membre de La Marie Debout : 10$

IndividuE : 20$

Organisme: 30$

Institution: 75$

 Petite histoire du film

C’est en ayant à cœur de partager l’expérience intergénérationnelle de Nous, les femmes qu’on ne sait pas voir qu’est née l’idée de faire ce film. La réalisatrice et la coscénariste se sont jointes à l’équipe de coanimatrices de LA MARIE DEBOUT afin d’organiser trois journées de tournage exploratoire en mars 2013 avec vingt participantes de trois centres de femmes montréalais : LA MARIE DEBOUT, le CÉAF (Centre d’éducation et d’action des femmes de Centre-Sud) et le CFIA (Femmes d’Ici et d’Ailleurs). Nous nous sommes inspirées de la richesse des échanges devant et hors caméra pour imaginer le film qu’il fallait faire.

Puis, nous sommes parties à la rencontre des femmes du Bas-Saint-Laurent, avec qui nous avons tourné à Rivière-du-Loup. Notre voyage s’est poursuivi à l’automne 2013, nous avons tourné à Ville-Marie avec des femmes du Témiscamingue, puis à Victoriaville avec des femmes du Centre-du-Québec et de Louiseville. Enfin, nous sommes revenues tourner à Montréal, cette fois avec des participantes de l’atelier d’écriture de La Marie Debout.

Au final, ce documentaire aura impliqué 70 femmes dans une grande conversation intergénérationnelle autour de thèmes comme la transmission, les sens plus profonds dans l’avancée en âge, le rapport au corps, la transformation, la beauté et la force d’être ensemble avec tous nos âges.

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Un lancement de film émouvant à Montréal
: dimanche 1er février, une conversation qui se poursuit

Nous étions plus de cent femmes et hommes de différentes générations à braver le froid hier après-midi, pour nous retrouver au Petit Auditorium du Collège Maisonneuve. Les travailleuses, les administratrices et les stagiaires de La Marie Debout n’ont ménagé aucun effort pour organiser le lancement tant attendu du film Nous les femmes qu’on ne sait pas voir.

Que d’émotions !

Une soixantaine de personnes sont restées après la projection pour une conversation avec la réalisatrice, Martine Gignac, et les coanimatrices, Thérèse Cloutier, Diane Richard, Suzanne Boisvert, Lise Gratton, Nicole Desaulniers et Diane Trépanière. En voici quelques extraits :

La première chose qui m’a impressionnée dans le film, c’est la beauté des femmes, filmées pas de maquillage. Et vous étiez d’une beauté, d’une lumière extraordinaire ! Au même titre que si c’était préparé pour faire du cinéma ! Et c’est cette magie-là, je pense, qui peut nous donner de l’espoir. On n’est pas obligées d’aller dans «l’esthétique» pour se faire voir.

Ce qui m’a frappée et émerveillée en même temps, j’ai trouvé ça très touchant et très beau, c’est l’immense décalage entre ce qu’on entend sur les personnes âgées autour de nous, dans la société, et ce qui est là dans le film. C’est un immense hymne à la vie, je trouve.

Ça m’a fait beaucoup de bien le film ! La transmission et le lien intergénérationnel m’intéressent beaucoup. Et ces temps-ci dans ma vie, je m’ennuie de mes grands-parents, que je n’ai plus. Il me semble que j’aimerais ça que ma grand-mère soit à côté de moi, en ce moment, pour lui poser des questions, qu’elle m’accompagne dans ma vie. J’aimerais juste partager une idée qui est montée pendant que j’écoutais le film : pourquoi ne pas partir un projet «adoptez une grand-mère» ?

Moi j’ai trouvé que c’était très thérapeutique. Et j’espère que ça va être disponible dans tous les centres de femmes à travers le Québec !

Ça m’a fait pleurer ce film. Et j’étais jalouse! J’aurais aimé vivre ces expériences-là ! Je trouve que vous avez eu une idée formidable de filmer. Ça aurait pu être un projet à travers le Québec, sans que ce soit filmé nécessairement. C’est d’une richesse que ce soit immortalisé, ces moments-là. Entre autres choses, pour le partage. Vraiment, je suis touchée ! Je trouve que ça nous donne une toute autre vision que ce qu’on entend à tous les jours, sur notre Québec vieillissant : être une femme et avancer en âge, c’est rafraîchissant, c’est rassurant que de voir ce qu’on peut faire avec notre vie.

À chaque séquence du film, je trouvais que ça éclatait dans beaucoup de directions riches. Alors, que ce soit les témoignages des femmes, que ce soit la qualité des images. Quelque fois, je me disais : oui, la caméra aime ces femmes-là ! Ça paraissait beaucoup. La musique aussi est venue me chercher !

Quand je suis arrivée ici, je pensais qu’on allait parler des autres qui ne peuvent pas nous voir. Et je m’en venais ici pour m’armer, pour combattre, pour leur donner une volée à ceux qui nous voient pas ! Puis je me rends compte que ça part d’ici (elle fait un geste vers le cœur). Ça part d’en dedans de nous.

Pour moi, c’est un film libérateur pour les femmes de 50 ans qui regardent les femmes plus âgées et qui se disent que tout l’espoir est là. Pour moi, il y a énormément d’espoir pour les femmes de 50, 60 ans, à regarder les modèles de femmes que vous nous avez présentés. C’est très enrichissant. Et c’est un film intergénérationnel parce qu’autant les jeunes femmes peuvent regarder ce film-là en regardant leur mère, en regardant leur grand-mère, puis en les appréciant peut-être autrement. Moi, c’est le message que j’ai reçu. Je vais regarder ma mère avec d’autres yeux maintenant.

C’est un film magnifique. Ce qui me touche particulièrement, c’est la bienveillance qu’il y a dans ce film, tout du long. Avec l’espace pour accueillir chaque personne. Vous êtes allées chercher des paroles et on déconstruit l’âgisme là-dedans. Et on découvre ce que c’est de s’exprimer en dehors des rôles, des petites cases. Je trouve que c’est un beau document pour animer et aller plus loin.

Moi, par rapport au vieillissement, j’ai des préjugés. J’ai des jugements. J’ai toutes sortes de concepts qui font que je ne m’accueille pas. Et je trouve que c’est la même chose pour toutes les femmes. On est toutes pognées avec tous nos préjugés, nos jugements face aux femmes, ce qu’on nous a inculqué, on l’a intégré. Puis on ne se voit pas nous-mêmes. Je ne me vois pas ! Parce que je voudrais être ceci ou je voudrais être cela. C’est ça qu’on m’apprend à être. Mais ce n’est pas «être», ça ! Ça, c’est paraître ! Et quand on arrive à être, on peut se voir. Et pour moi, le film m’appelle dans ce sens-là.

Merci à vous toutes et tous pour cet échange riche et généreux !

Les prochaines projections : Ville-Marie (6 mars), Rimouski (10 mars) et Mont-Joli (11 mars). Surveillez notre blogue pour des détails très bientôt !

Plus je pense au documentaire, à ce que j’ai ressenti en présence des femmes présentes au lancement, plus je vois l’abondance de lumière, de paix et de sérénité qui s’en dégage. Qu’elle fait du bien, cette réflexion sur le vieillissement. (Véronique Morel)

Le film est maintenant disponible en DVD.

Pour plus d’information :
info@lamariedebout.org
(514) 597-2311
www.lamariedebout.org

Cliquez sur l’image pour agrandir et voir le diaporama du lancement.

Lancement

Lancement de notre film

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Lancement du film documentaire à Montréal

Dimanche 1e février 2015 à 13H30
Au Petit Auditorium du Collège Maisonneuve
3800, rue Sherbrooke est
(entre Bourbonnière et Nicolet – près du métro Pie-IX)

Une discussion avec la documentariste et les coanimatrices suivra la projection
Un léger goûter sera servi

Prix des billets :
$5 membre de La Marie Debout
$10 non-membre

Vous pouvez acheter vos billets à La Marie Debout avant le 28 janvier 2015
ou sur place la journée même
Renseignements : (514) 597-2311 info@lamariedebout.org

Diane, Lise, Nicole, Suzanne et Thérèse partent sur les routes du Québec afin de poursuivre une grande conversation avec des femmes de tous les âges sur leur expérience du vieillissement. Elles utilisent des moyens artistiques pour déclencher des réflexions profondes et souvent surprenantes. Ensemble, ces femmes qu’on ne sait pas voir nous offrent une courtepointe de paroles mêlant les accents comme les idées. Elles nous laissent entrevoir le paysage d’une vieillesse pleine de promesse, donnant à l’avancée en âge tout son sens de découverte.

Pour visionner la bande-annonce, cliquez ici : https://vimeo.com/112504190

Petite histoire du film

C’est en ayant à cœur de partager avec un plus grand nombre l’expérience intergénérationnelle de Nous, les femmes qu’on ne sait pas voir qu’est née l’idée de faire ce film. La réalisatrice et la coscénariste, toutes deux de Rimouski, se sont jointes à l’équipe de coanimatrices de LA MARIE DEBOUT afin d’organiser trois journées de tournage exploratoire en mars 2013 avec vingt participantes de trois Centres de femmes montréalais : La MARIE DEBOUT, le CÉAF (Centre d’éducation et d’action des femmes de Centre-Sud) et le CFIA (Femmes d’Ici et d’Ailleurs). Nous nous sommes inspirées de la richesse des échanges devant et hors caméra pour imaginer le film qu’il fallait faire.

Puis, nous sommes parties à la rencontre des femmes du Bas-Saint-Laurent, avec qui nous avons tourné à Rivière-du-Loup. Notre voyage s’est poursuivi à l’automne 2013, nous avons tourné à Ville-Marie avec des femmes du Témiscamingue, puis à Victoriaville avec des femmes du Centre-du-Québec et de Louiseville. Enfin, nous sommes revenues tourner à Montréal, cette fois avec des participantes de l’atelier d’écriture de La Marie Debout.

Au final, ce documentaire aura impliqué 70 femmes dans une grande conversation intergénérationnelle autour de thèmes comme la transmission, les sens plus profonds dans l’avancée en âge, le rapport au corps, la transformation, la beauté et la force d’être ensemble avec tous nos âges.

Disponible en DVD très bientôt

Cliquez sur l’image pour agrandir et voir le diaporama du tournage.

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Lancement de Nous, les femmes qu’on ne sait pas voir,
le film

Le film documentaire, réalisé par Martine Gignac, en collaboration avec 70 femmes du Québec, sortira en février 2015.

Pour vous donner un petit avant-goût d’une grande conversation sur l’âge, voici notre bande-annonce :  https://vimeo.com/112504190

À suivre…

Petite histoire du film

C’est en ayant à cœur de partager l’expérience intergénérationnelle de Nous, les femmes qu’on ne sait pas voir qu’est née l’idée de faire ce film. La réalisatrice et la coscénariste se sont jointes à l’équipe de coanimatrices de LA MARIE DEBOUT afin d’organiser trois journées de tournage exploratoire en mars 2013 avec vingt participantes de trois Centres de femmes montréalais : LA MARIE DEBOUT, le CÉAF (Centre d’éducation et d’action des femmes de Centre-Sud) et le CFIA (Femmes d’Ici et d’Ailleurs). Nous nous sommes inspirées de la richesse des échanges devant et hors caméra pour imaginer le film qu’il fallait faire.

Puis, nous sommes parties à la rencontre des femmes du Bas-Saint-Laurent, avec qui nous avons tourné à Rivière-du-Loup. Notre voyage s’est poursuivi à l’automne 2013, nous avons tourné à Ville-Marie avec des femmes du Témiscamingue, puis à Victoriaville avec des femmes du Centre-du-Québec et de Louiseville. Enfin, nous sommes revenues tourner à Montréal, cette fois avec des participantes de l’atelier d’écriture de La Marie Debout.

Au final, ce documentaire aura impliqué 70 femmes dans une grande conversation intergénérationnelle autour de thèmes comme la transmission, les sens plus profonds dans l’avancée en âge, le rapport au corps, la transformation, la beauté et la force d’être ensemble avec tous nos âges.

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