Le film en ligne : à partager sans modération !

Nous les femmesLancé en février 2015, le documentaire de Martine Gignac sur notre grande aventure est maintenant disponible gratuitement sur la toile !

Une réflexion par l’art sur le vieillissement des femmes.

Une grande conversation intergénérationnelle qui ne se termine jamais.

NOUS, les femmes qu’on ne sait pas voir from La Marie Debout on Vimeo.

Diane, Lise, Nicole, Suzanne et Thérèse partent sur les routes du Québec afin de poursuivre une grande conversation avec des femmes de tous les âges sur leur expérience du vieillissement. Elles utilisent des moyens artistiques pour déclencher des réflexions profondes et souvent surprenantes. Ensemble, ces femmes qu’on ne sait pas voir nous offrent une courtepointe de paroles mêlant les accents comme les idées. Elles nous laissent entrevoir le paysage d’une vieillesse pleine de promesse, donnant à l’avancée en âge tout son sens de découverte.

Nous les femmes

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Toko Shinoda : « À 102 ans, peindre une ligne
est comme un rêve ».

Elle est centenaire et continue à peindre ses œuvres abstraites à l’encre de Chine. L’artiste japonaise la plus âgée a croisé Jackson Pollock et Mark Rothko et expose en ce moment à Tokyo.

Une entrevue avec Daniel Eskenazi : http://www.letemps.ch/culture/2015/10/30/toko-shinoda-102-ans-peindre-une-ligne-un-reve

Toko Shinoda est née en 1913. Son travail, l’œuvre de toute une vie, est comme une danse entre calligraphie traditionnelle et abstraction abstraite.

« Certaines formes flottent dans mon esprit. Des arômes, une brise soufflant, une rafale de pluie trempés de vent… l’air en mouvement, mon cœur en mouvement. J’essaie de capter ces vagues, des images évanescentes de l’instant et de les mettre en forme vivante ».

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NOUS, les femmes qu’on ne sait pas voir
dans le Bas-du-Fleuve :
Deux projections à Trois-Pistoles et à Rivière-du-Loup

La réalisatrice Martine Gignac est allée présenter le film à La Forge à Bérubé de Trois-Pistoles le 7 mai dernier et à la Maison de la culture de Rivière-du-Loup le 21 mai.

Encore une fois, comme nous l’a raconté Martine au téléphone, ce fut l’occasion d’échanges très riches après la projection avec le public, presqu’entièrement composé de femmes.

« Il a beaucoup été question de transmission, des différences entre les hommes et les femmes dans la perception de l’avancée en âge. Plusieurs ont souligné l’importance du travail qui se fait dans les centres de femmes, qui favorisent l’entraide entre les femmes et qui les aident à se connecter à des images plus positives d’elles-mêmes. La question des modèles a aussi été soulevée, l’importance d’en avoir et assumer en être un pour les autres autour de nous ».

Des témoignages, des confidences parfois, les échanges avec la salle se sont déroulés rondement aux dires de Martine, démontrant encore une fois comment il est important de créer des espaces conversationnelles sur ce sujet. Démontrant aussi comment le film inspire à partager et à prolonger les réflexions : une femme du Lac-St-Jean a acheté une copie DVD en disant à Martine : ça va se promener ça, madame !

La plupart des femmes qui avaient participé au tournage de Rivière-du-Loup, il y a maintenant deux ans de cela, étaient présentes à la projection du 21 mai, organisée par le Centre-Femmes du Grand Portage. « De belles retrouvailles », nous disait Martine.

Merci à vous toutes pour votre présence lumineuse !

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Josée Lefebvre, artiste des Eaux Profondes :
l’amour dans l’art

Lors de notre passage à Ville-Marie en mars dernier, pour le lancement du film, Suzanne Boisvert en a profité pour faire une longue entrevue avec Josée Lefebvre, artiste et travailleuse au centre de femmes de Ville-Marie.

Dans cette deuxième partie, Josée nous parle de sa trajectoire artistique et de sa toute dernière œuvre «Coiffe d’humanité». Elle nous raconte ce qui la motive à célébrer la vie par l’art dans des projets impliquant bien souvent ce qu’elle appelle sa « tribu témiscamienne ».

Pour lire la deuxième partie d’entrevue en format pdf, cliquez ici ou sur les photos.

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Nous, les femmes qu’on ne sait pas voir aux couleurs du Témiscamingue :
Un entretien avec Josée Lefebvre,
du centre de femmes de Ville-Marie

Lors de notre passage à Ville-Marie en mars dernier, pour le lancement du film, Suzanne Boisvert en a profité pour faire une longue entrevue avec Josée Lefebvre, artiste et travailleuse au centre de femmes de Ville-Marie.

Dans cette première partie, Josée nous raconte d’où lui est venu le désir de poursuivre l’expérience Nous, les femmes, comment elle aborde le travail créateur et l’animation, ce qui se vit dans leur groupe depuis près d’un an et les effets de l’atelier dans la vie des femmes : quand l’art fait du sens et qu’on se donne la permission de réfléchir autrement au vieillissement.

Pour lire la première partie d’entrevue en format pdf, cliquez ici ou sur les photos.

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